Ken Follett, Les armes de la lumière, Robert Laffont

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  1. Bonjour Anne-yès
    Bravo pour la lecture de ce gros bouquin. Si j’ai bien compris ce que j’ai vu en cherchant un peu, ce titre-là constitue bien le cinquième tome de la saga commencée avec Les piliers de la terre… que je n’ai toujours pas lus (alors que je m’étais fixé cet objectif pour cet été). J’ai juste lu le premier-er tome de son adaptation en bande dessinée… Et, oui, s’il y a des affrontements (qui peuvent rappeler ceux des canuts en France, et les bris de métiers à tisser mécaniques par les compagnons, lorsqu’ils ont commencé à être introduits), ça a aussi sa place pour le challenge sur le monde ouvrier. Mais du coup, je me demande si les « bâtisseurs de cathédrales » du premier tome y seraient éligibles aussi?
    (s) ta d loi du cine, « squatter » chez dasola

    • Anne-yes

      Oui, les briseurs de métiers ce sont les luddistes ici. Les piliers de la terre ça fait plus de dix ans que je l’ai lu, je ne me rappelle plus ce qui est dit de la construction des cathédrales et du travail fourni.

  2. Ne ris pas : j’étais persuadée que Les piliers de la terre était une saga se déroulant à la Préhistoire (après vérification, je confondais avec celle de Auel, ne me demande pas pourquoi !!)…
    Le pire, c’est qu’il me semble que plusieurs personnes m’ont recommandé la lecture de Follett. Un jour peut-être, je suis déjà en train de me constituer toute la série des Dune, en vue de ma future retraite (qui n’est pas pour demain) ! 🙂
    Merci pour cette participation, et bravo pour le triplé !

    • Anne-yes

      Peut être qu’un jour Follett fera le prequel à l’époque préhistorique, va savoir ? Bon courage en attendant la retraite !

  3. Dans mon souvenir, le travail des architectes et de tous les corps de métier est central dans la plus grande partie des Piliers de la terre (et c’est passionnant, je n’ai plus jamais vu une église ou une cathédrale avec le même œil depuis!), donc je dirai que cela s’inscrit parfaitement dans le thème d’Ingannmic. Comme ça m’arrive souvent avec les gros pavés américains, je l’ai dévoré mais j’ai saturé sur la fin (je devrais me freiner pour ne pas arriver à cette sorte d’indigestion mais je n’y arrive généralement pas). C’est quand même un très bon bouquin et un très joli triplé estival !

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