Leonardo Padura, L’homme qui aimait les chiens, Métailié

4 Comments, RSS

  1. Anne-yes

    Sentinelle le 1 mai 2015 :
    Merci beaucoup pour le lien. Ce roman est un grand roman, et il fut également un coup de cœur en ce qui me concerne. Du même auteur, j’avais également été sous le charme de la lecture de son livre « Les brumes du passé », plus mélancolique et nostalgique. L’histoire d’amour entre Trotski et Frida Kahlo a été reprise dernièrement dans une bande dessinée intitulée tout simplement « Frida Kahlo », chez Delcourt. Je la lire probablement un de ces jours.La guerre civile d’Espagne est aussi un sujet qui me tient à cœur. Et tu auras de nombreux choix de lecture à ce sujet. Je peux déjà te conseiller, un peu pêle-mêle :- dans la veine romanesque : Le coeur glacé d’Almudena Grandes, Les voix du Pamano de Jaume Cabré- dans le genre un peu plus espionnage : Un hiver à Madrid de C. J. Sansom- dans le genre roman noir : La tristesse du samouraï de Victor del Arbol- dans le genre poétique, sur la solitude et la lutte fratricide : Lune de loups de Julio Llamazares- dans le genre roman-document : Les soldats de Salamine de Javier Cercas – dans le genre roman-témoignage : Pas pleurer de Lydie Salvayre Et bien d’autres encore…. Bonnes lectures !
    Réponse :
    Merci beaucoup pour tes suggestions.

  2. Anne-yes

    Keisha le 1 mai 2015 :
    Avec padura, tu peux aussi continuer, il a une série avec un enquêteur un peu nostalgique…
    Réponse :
    Je note Les brumes du passé, conseillé également par Sentinelle et dont tu dis grand bien.

  3. Anne-yes

    Maggie le 6 mai 2015 :
    Je note Les brumes du passé, conseillé également par Sentinelle et dont tu dis grand bien.
    Réponse :
    Pour moi c’était une (belle) découverte.

  4. Anne-yes

    Henri le 10 mai 2015 :
    Pour moi je te conseillerais sur la guerre d’Espagne, le livre d’Antony Beevor (supérieur à mon sens à celui de Bennassar, trop complaisant envers les républicains modérés et les staliniens) pour fixer le cadre. Et le magnifique roman-vrai d’Hans-Magnus Enzensberger « Le bref été de l’anarchie » sur la vie et la mort de Durruti.Je croyais tout savoir sur cette tragédie du communisme (à cet égard je te signale les Mémoires d’un révolutionnaire de Victor Serge), mais tu me donnes envie de lire Padura.
    Réponse :
    On en découvre toujours sur cette sombre histoire et c’est rarement des bonnes nouvelles.

Your email address will not be published. Required fields are marked *

*