Julie Otsuka, Certaines n’avaient jamais vu la mer, Phébus

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  1. Anne-yes

    Dominique le 13 janvier 2013 :
    Hier dans un club lecture une lectrice a dit la même chose que toi, elle admirait le style et cette forme de narration mais cela l’a lassé au bout d’un moment
    Bizarrement je n’ai absolument pas éprouvé cela, ce chant polyphonique m’a plu tout du long
    merci à toi pour le lien
    Réponse :
    Je me rends compte que j’apprécie mieux une écriture relativement « classique ».

  2. Anne-yes

    Adelia Bertetto le 13 janvier 2013 :
    Julie Otsuka (born 1962)
    Tout d’abord merci pour vos reviews.
    J’ai lu les deux livres dans l’original anglais. Le premier When the Emperor Was Divine Viking 2002 est très bien : pas un mot de trop. Il rejoint la beauté dans l’essentiel de Fumiko Enchi (1905-1986) The waiting years, 1957.
    Le deuxième The Buddha in the attic, semble un produit de ‘creative writing » : maniérisme et répétitions.
    Example:“That night our new husbands took us quickly. . .
    They took us even though we bit them. They took us even though we hit them. They took us even though we insulted them . . . and screamed out for help (nobody came). . . . They took us cautiously,
    as though they were afraid we might break. You’re so small. They took us coldly but knowledgeably — In 20 seconds you will lose all control — and we knew there had been many others before
    us. They took us et cetera, et cetera.
    Dans mon Catalogue livres, je l’ai catalogué : ‘a book to skip’.
    Bien à vous
    Adelia
    Réponse :
    J’avais remarqué aussi que le titre français n’avait rien à voir avec le titre original. Qu’on pourrait traduire comment ?

  3. Anne-yes

    Kikine le 14 janvier 2013 :
    Vu que je suis avertie pour le style avec le « nous » collectif, je devrai pouvoir passer outre et essayer de compléter les témoignages que j’ai eu en allant à SF l’été dernier
    Réponse :
    Ca se lit quand même bien, hein. Et c’était quoi, ces témoignages ?

  4. Anne-yes

    Fransoaz le 14 février 2013 :
    J’ai beaucoup aimé ce livre, touchée par l’histoire douloureuse de ces femmes. Un peu de frustration avec ce nous car j’aurai tellement voulu suivre l’une d’entre elles dans son intérieur et dans ses pensées intimes!
    Réponse :
    Moi ce que j’aimerais connaître c’est la suite de l’histoire : comment ces familles se sont intégrées dans la population américaine.

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