Claude Izner, Les souliers bruns du quai Voltaire, 10-18

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  1. Anne-yes

    Dominique le 21 décembre 2011 :
    Il m’attend et je pense l’emporter pour les fêtes car là on a besoin de lecture légère, dans la même série j’en ai lu un sur Toulouse Lautrec qui était sympas aussi mais tout aussi léger
    Réponse :
    C’est en effet exactement ce qu’il faut à cette époque de l’année.

  2. Anne-yes

    Le Bouquineur le 9 juillet 2014 :
    J’étais prêt à me passionner pour cette reconstitution méticuleuse du Paris de 1898, le centre historique, des quais au Marais et aux Halles entre autre. Je commençais à me régaler des images à la Tardi me venant à l’esprit, de ce je sais quoi à la Léo Mallet et de cette écriture pastichant les anciens, riches en tournures de phrases démodées ou jolis mots (« son prince marchand »). Mais n’est pas Emile Zola (l’action se déroule durant l’affaire Dreyfus) qui veut, toutes ces descriptions, cette accumulation de documentation d’époque régurgitée et surtout, la pléthore de personnages secondaires ont fini par m’assommer. Et comme l’intrigue policière proprement dite n’est pas folichonne (« un tissu d’invraisemblances sorties droit de mon imagination » avoue un personnage) même si elle présente des aspects intéressants (cadavre dans un chaudron de confiture, recherche d’un vieux livre et arrivée inopinée du fameux comte de Saint-Germain) je suis resté sur ma faim.
    Réponse :
    La lecture est loin, je ne me souviens plus vraiment mais je dirais que ça n’est pas leur meilleur.

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