A Vienne, au début du 20° siècle, une puis d’autres jeunes femmes sont retrouvées assassinées avec une épingle à chapeau. Les victimes sont toutes plus ou moins dévêtues mais elles semblent s’être déshabillées de leur plein gré. Pour mener l’enquête l’inspecteur Oskar Rheinhardt peut compter sur l’aide de son ami le psychiatre Max Liebermann. Ce dernier doit aussi traiter un patient pris de peur panique à l’idée qu’il est suivi par son double.
Je me suis régalée à lire le 5° épisode de cette série. J’ai retrouvé avec plaisir ses personnages sympathiques et l’ambiance viennoise de cette époque. Bien sur il y a toujours les cafés et la musique mais il est aussi ici question de mode féminine. Une couturière lance une nouvelle ligne de robes, les Reformkleider, sortes de cafetans larges qui permettent aux femmes de se débarrasser de leur corset. Max Liebermann n’est à priori pas favorable à une telle nouveauté qu’il imagine peu seyante. Quand c’est miss Lydgate qui passe la Reformkleid son avis change rapidement.
Zarline le 4 mars 2010 :
J’ai lu il y a quelques mois Les pièges du crépuscule sans être convaincue par cette série. Je ne pense pas retenter l’expérience. Je trouve que l’auteur part dans tous les sens en perdant de vue son intrigue principale.
Réponse :
Oui, je pense que l’enquête policière n’est pas le principal dans ces romans. Ce que j’apprécie c’est justement tous les détails qui font ressentir l’ambiance du lieu et de l’époque.
Lounima le 11 mars 2010 :
J’ai très envie de découvrir cette série et ce que j’en lis sur la blogosphère ne fait que renforcer ma conviction qu’elle me plairait ! 😉
Réponse :
Ca a été une chouette découverte pour moi l’an dernier.