Boris Akounine, Pélagie et le coq rouge, Presses de la cité

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  1. Anne-yes

    Kyste le 30 août 2009 :
    Pour la fin ce n’est pas une pirouette je trouve. Je pense que depuis le début de la série, il souhaite arriver à ce dénouement et à cette critique de l’église, incapable de reconnaitre ou d’accepter le crucifié quand il descend de la croix. C’est clairement une oeuvre sombre comme tout akounine d’ailleurs. Pélagie c’est marie madeleine bien évidement, le personnage qui n’a rien à faire dans l’histoire de jésus, mais qui est là pour le laver. Akounine est un auteur d’une subtilité plus importante qu’il semble au premier abord. Son génie du suspens parfois dessert la lecture et l’analyse de son talent à nous montrer notre époque.
    Réponse :
    J’ai fait une lecture beaucoup plus superficielle de ce roman. On peut aussi l’apprécier comme cela.

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