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Paul-Loup Sulitzer, La femme pressée, Stock-Edition n°1

10 Comments, RSS

  1. Ca correspond parfaitement à ce que j’imaginais… J’ai bien fait de ne pas le lire (il y en avait un ou deux exemplaires dans la bibliothèque parentale à cause d’un abonnement France Loisirs.)

  2. Il me semble que ce titre fait partie d’une trilogie (La femme pressée, Kate, Les routes de Pékin) que j’ai lue en Livre de Poche jadis (fin du XXe s.), et qui ne m’avait pas déplu (ma grille de lecture n’est peut-être pas la même?).
    Autres oeuvres « signées » Sulitzer mettant en scène un personnage féminin (peut-être encore davantage au centre de l’histoire?), le diptyque Hanna / L’impératrice. Si vous le croisez dans une boite à livres, jetez-y un oeil tout de même, par curiosité…
    Pour ma part, mon Sulitzer préféré reste Le roi vert (je vais incessamment en verser un exemplaire dans la « bibliothèque partagée » en bas de chez moi. Je verrai bien si ça suscite la curiosité ou non…
    (s) ta d loi du cine, « squatter » chez dasola

    • Anne-yes

      « Davantage au centre de l’histoire » c’est bien possible parce que si le roman est nommé d’après elle, c’est son personnage à lui qui est le plus développé, il me semble.

  3. J’en ai lu plusieurs quand j’étais au lycée, avec, je dois l’avouer, beaucoup de plaisir, puis j’ai fini par m’en lasser. Comme le souligne Tadloiducine, je ne suis pas sûre que je le lirai de la même manière aujourd’hui, et moi aussi, mon préféré a été Le roi vert, qui m’a assez marquée pour que je me souvienne, 30 ans après, du prénom du héros et de quelques-uns des événements décrits dans le roman !

  4. J’avais lu ces romans quand j’étais ado, j’avais beaucoup aimé. Jusqu’à ce que ma prof de français se moque de moi (ce qui n’était pas très cool de sa part, elle aurait mieux fait de m’expliquer gentiment quel était le souci de ces livres).

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