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François Garde, Ce qu’il advint du sauvage blanc, Gallimard

3 Comments, RSS

  1. Anne-yes

    Loupita le 11 juin 2013 :
    Pour la perte de la langue maternelle, vois le cas du Hongrois dans Un roman russe. Je dois avoir le lien d’un doc sur les aphasies, je te le passerai à l’occasion 🙂
    Réponse :
    Et le Hongrois, il avait tout oublié de sa langue ? J’avoue que moi-même j’ai oublié. Je me souviens par contre du documentaire Piégés par Staline où une Française qui avait quitté la France vers 20 ans et passé ensuite toute sa vie en URSS avait énormément de mal à s’exprimer en français mais était quand même capable de faire passer une idée simple.
    Loupita le 13 juin 2013 :
    Le Hongrois il parlait un espèce de mélange hongrois/russe incompréhensible, mais il faut dire que c’étaient des conditions extrêmes : interné pendant 50 ans dans un asile psychiatrique soviétique, forcément ça laisse des traces… Je crois qu’il a réappris le hongrois ensuite mais non sans mal.
    Pour ce qui est des réactions du cerveau, mon cours de psycholinguistique de cette année m’a convaincue que TOUT est possible en matière de langage (même si très rare).
    Réponse :
    Merci, très chère, pour ces précisions. Ton doc sur les aphasies m’intéresse.

  2. Anne-yes

    Keisha le 11 juin 2013 :
    Oublier totalement sa langue, ses mots? Étonnant, mais pourquoi pas, tant de choses sont bizarres dans les réactions de l’être humain. Ce qui est sûr, c’est qu’on peut à force de vivre à l’étranger, prendre un accent en parlant français et chercher les mots en français.
    Réponse :
    En effet.

  3. Anne-yes

    Jeanne le 20 juin 2013 :
    D’après Wikipédia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Narcisse_Pelletier), il a raconté son histoire dans Narcisse Pelletier : dix-sept ans chez les sauvages de Constant Merland.
    Réponse :
    Oui, mais un livre qui n’est plus édité, semble-t-il.
    Jeanne le 21 juin 2013 :
    En tout cas l’article sur Wikipédia permet déjà de voir que ce roman n’est pas tout à fait fidèle à la réalité (on nous dit notamment que NP a ré-appris le français très vite, autant dire qu’il ne l’a pas vraiment oublié quoi).
    Réponse :
    Dans le livre aussi, il réapprend très vite. C’est que ce n’était qu’en apparence oublié, il en avait des traces quelque part dans sa mémoire.

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