Pour le tome 4, c’est par ici.
A Itô, modeste station balnéaire japonaise, Lucius se demande comment faire comprendre à Satsuki qu’il n’est pas insensible à son charme. De son côté la jeune femme est complètement conquise par les qualités viriles du Romain.
Mari Yamazaki renouvelle l’intrigue en faisant expérimenter à son personnage une nouvelle façon de voyager à travers le temps. Surtout notre héros semble destiné à s’installer dans la durée à Itô où il découvre qu’un patron de la pègre veut mettre la main sur les établissements de bains. Et ça, il n’en est pas question pour Lucius.
J’ai passé un petit moment de lecture agréable et l’épisode se termine sur un suspense qui me donne envie de lire le tome 6 mais je crois qu’il me faudra attendre un peu plus longtemps cette fois.
L’avis de Jérôme, beaucoup plus sévère que le mien. Je reconnais que je suis facilement bon public.
Jérome le 10 février 2013 :
C’est vrai que je l’ai assez mal pris ce tome 5. Je trouve que l’histoire tombe dans le grand n’importe quoi mais c’est un point de vue très personnel.
Réponse :
Tes arguments me semblent très recevables. Quant à moi, je trouve ce grand n’importe quoi amusant. J’aime bien que Mari Yamazaki explique sa façon de travailler, ça me la rend sympathique. J’ai réfléchi aussi au fait que c’est un livre qu’on m’a prêté. Si j’en avais fait la dépense j’aurais peut-être été moins complaisante.
Yspaddaden le 14 février 2013 :
j’ai trouvé le procédé un peu trop répétitif, ça finit par être lassant…
Réponse :
Justement j’ai trouvé qu’à partir du tome 4, en supprimant les aller-retour incessants, ça renouvelait un peu.