La narratrice, Mia Petersen, poétesse de 55 ans, vient d’être plaquée par Boris, son mari. Plus exactement il lui a annoncé son besoin de faire une pause, c’est à dire de mener tranquillement sa liaison avec une collègue plus jeune. Profondément affectée, Mia quitte New-York et loue pour l’été une maison dans la petite ville de Bonden où sa mère est installée dans un foyer pour personnes âgées. A Bonden, en plus de sa mère et de ses amies hautes en couleur de la maison de retraite, Mia fréquente un groupe d’adolescentes auxquelles elle donne des cours de poésie et sa voisine, jeune femme au mari souvent absent.
Auprès de toutes ces femmes d’âges divers Mia explore ce que c’est qu’être une femme, comment on ressent les choses et réagit. En même temps elle se remémore des épisodes de sa vie et de sa relation avec Boris. Je trouve tout cela très finement observé et analysé et je reconnais un peu de moi à plusieurs reprises. J’ai pris mon temps pour lire pour pouvoir tout bien apprécier.
L’avis de Keisha.
Keisha le 11 juillet 2011 :
J’ai tellement aimé cet auteur que depuis j’ai lu deux volumes de ses essais, avant d’attaquer ses romans, plus tard, pour bien en profiter.
Réponse :
J’avais particulièrement aimé « Tout ce que j’aimais » et j’ai bien envie de lire maintenant « La femme qui tremble ».
Keisha le 12 juillet 2011 :
J’ai justement lu La femme qui tremble, et là tu comprendras pourquoi l’auteur est si au point sur ce qui touche au cerveau, la neurologie, la psychanalyse, etc… Passionnant, hein, ne pas avoir peur… ^_^
Réponse :
Tu me tentes.