J’avais déjà chroniqué ici les premières aventures du Mouron Rouge. Il y en a d’autres. Des aventures de cape et d’épée, de l’amour, un héros insaisissable, c’est toujours un régal.
Baronne Orczy, Les nouveaux exploits du Mouron Rouge, Presses de la cité
L’infâme Chauvelin attire le Mouron Rouge en France. Marguerite -soit disant la femme la plus fine d’Europe- s’est fait avoir comme une sotte. Tombée entre les mains des terroristes elle est devenue un otage pour attraper son mari. Heureusement celui-ci a plus d’un tour dans son sac et réussi grâce à son audace insensée.
« C’était un superbe exemplaire de la race britannique : les membres robustes, la poitrine large, les mains fines et blanches, tout révélait l’homme de haute naissance, de belle éducation et d’énergie. »
La capture du Mouron Rouge
A force de l’en supplier, Armand Saint-Just a obtenu de son beau-frère, sir Percy Blakeney, alias le Mouron Rouge, qu’il l’emmène en mission en France. Et quelle mission ! Il s’agit de libérer Louis 17, le Dauphin prisonnier des révolutionnaires ! Bien sur, dès son arrivée sur le sol natal, Armand désobéi à son chef, s’entiche d’une actrice et se fait capturer.
La vengeance de sir Percy
Le Mouron Rouge est amené à exfiltrer de France la jeune Fleurette, charmante enfant de 18 ans aussi douce que bonne. Pourtant Fleurette n’est autre que la fille de l’affreux Chauvelin, ennemi mortel de sir Percy. La vengeance de sir Percy consiste à rendre le bien pour le mal. Quand Chauvelin poursuit Blakeney de sa haine et a tenté de l’atteindre à travers ce qu’il avait de plus cher, sa femme; notre héros sauvera la seule personne qui fasse battre le coeur de son ennemi.
La baronne nous dresse dans cette aventure un portrait quasi christique de son personnage, véritable envoyé du ciel, une présence qui subjugue et qui rassure : « Elle sentait peu à peu ses craintes l’abandonner, tandis que grandissait en elle un courage nouveau, une détermination nouvelle ».
Keisha le 22 avril 2011 :
J’en ai lu! Teeellement kitsch, je ne résiste pas!
Réponse :
Il m’en reste encore quatre à lire.