Un petit avion transportant les membres d’une mission de l’ONU, personnels de santé et forestiers, s’écrase au large de l’Indonésie sur une île apparemment déserte. Les premiers temps sont très difficiles pour la cinquantaine de rescapés, hommes et femmes, qui tentent de s’organiser pour survivre. La faim qui attise les mésententes les frappe durement. Mais une fois qu’ils ont maîtrisé leur environnement, qu’ils ont recréé une petite société, ils peuvent enfin apprécier la vie dans leur petit paradis. Ils travaillent à signaler leur présence au reste du monde et en même temps certains commencent à se demander si on ne pourrait pas avantageusement finir ses jours ici.
Voilà un petit roman amusant. Ca me rappelle que quand j’étais enfant, j’aimais beaucoup les histoires de Robinsons. Les enfants de Deux ans de vacances de Jules Verne qui, si je me souviens bien, n’étaient pas du tout en vacances mais avaient recréé une sorte d’école. Les Robinsons suisses, très industrieux eux aussi. Ici les naufragés sont des Scandinaves. Ils distillent de l’alcool et construisent des saunas tandis que les sage-femmes organisent le planning familial.
Zarline le 22 décembre 2010 :
Je ne connaissais pas ce roman de Paasilinna mais le résumé est alléchant. Je note!
Réponse :
Et la lecture plaisante.