Florence Aubenas, Le quai de Ouistreham, Editions de l’olivier

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  1. Anne-yes

    Lybertaire le 31 août 2023 :
    Coucou ! Voilà un livre tout de même utile pour les bourgeois·es, et pour l’autrice aussi visiblement, car elle pensait trouver un CDI plus rapidement quand même !

    C’est marrant que tu parles de Jack London : juste après Aubenas, j’avais commencé Le Peuple de l’abîme sur les bas-fonds de Londres, et c’était insoutenable. J’ai arrêté au bout de 50 pages, car l’auteur prend les gens de haut, il espère que les moins miséreux·ses pourront se sauver, car les plus miséreux·ses sont de toute façon perdu·es et mourront avant 40 ans d’alcoolisme et de malnutrition.
    Réponse :
    J’avais fait l’inverse : j’avais lu London avant Aubenas. J’avais trouvé terrible ce que la réalité que décrit London. Je n’ai pas remarqué ce mépris dont tu parles.

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