14 décembre 1914, à Flabas, du côté de Verdun, Casimir fait la connaissance de Martin. Ils deviennent amis et vont travailler ensemble comme téléphonistes. Ils installent des lignes entre les tranchées.
Octobre 1915, la compagnie se déplace vers Haumont. Là, Martin confie à Casimir qu’il sait qu’un trésor est caché dans les environs. Il veut qu’ils le cherchent ensemble.
Février 1916, la bataille de Verdun commence.
Ce roman fait partie d’une collection, « les romans de la mémoire », établie en partenariat entre les éditions Nathan et le ministère de la défense. Elle veut « préserver la mémoire de ceux qui ont été acteurs ou témoins des conflits du 20° siècle ». Pour L’or et la boue, le résultat est quand même celui d’un ouvrage de commande. C’est bien documenté et le lecteur y trouvera des précisions intéressantes sur les conditions de vie dans les tranchées. Mais on les trouverait aussi bien dans un livre documentaire sur le sujet. Le roman n’apporte rien de plus. L’histoire de la chasse au trésor m’a parue assez peu crédible. Cela s’adresse à un public de collégiens et peut-être que ceux qui ne sont pas encore des lecteurs confirmés apprécieront car c’est facile à lire.