Anna Funder, L’invisible Madame Orwell, Editions Héloïse d’Ormesson

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  1. J’imagine qu’hélas, elle n’a pas été la seule femme négligée voire mal traitée par son mari écrivain. Certains pouvaient être de vrais despotes domestiques…

    • Anne-yes

      Orwell avait bien conscience du rôle de son épouse. Après la mort d’Eileen il a tenté de recruter une remplaçante et présenté le poste à plusieurs candidates potentielles.

  2. Très bonne lecture, tout à fait d’accord avec toi. Même si ce n’est pas toujours très glorieux pour son mari, cela ne remet pas en cause l’écrivain, cela m’a donné envie de le lire (enfin !).

  3. Merci pour le lien.
    Ce très intéressant éclairage sur la vie d’Orwell m’a donné aussi envie de lire La ferme des animaux (puisque pour 1984, c’était déjà fait)

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